Georges Dambier - “Suzy Parker” Elle Magazine, Givenchy, Tour Eiffel 1954

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Georges Dambier - “Suzy Parker” Elle Magazine, Givenchy, Tour Eiffel 1954

€3,000
Georges Dambier - “Marie Hélène Arnaud Eden Roc, Cap d'Antibes” 1957

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Georges Dambier - “Marie Hélène Arnaud Eden Roc, Cap d'Antibes” 1957

€2,300
Georges Dambier - “Barbara Mullen and Marie Hélène Arnaud, water skiing” Cap d’Antibes 1957

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Georges Dambier - “Barbara Mullen and Marie Hélène Arnaud, water skiing” Cap d’Antibes 1957

€3,000
Georges Dambier - ''Bettina'' en Dior , Paris le 5 Août 1955 pour Elle MagazineGeorges Dambier - ''Bettina'' en Dior , Paris le 5 Août 1955 pour Elle Magazine

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Georges Dambier - ''Bettina'' en Dior , Paris le 5 Août 1955 pour Elle Magazine

€2,300
Georges Dambier - ''Bettina devant l’œuvre de Miro'' en Jacques Fath, Paris 1953

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Georges Dambier - ''Bettina devant l’œuvre de Miro'' en Jacques Fath, Paris 1953

€2,300
Georges Dambier - ''Gunina''en Givenchy , Paris le 5 Août 1955 pour Elle MagazineGeorges Dambier - ''Gunina''en Givenchy , Paris le 5 Août 1955 pour Elle Magazine

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Georges Dambier - ''Gunina''en Givenchy , Paris le 5 Août 1955 pour Elle Magazine

€2,500
Georges Dambier - ''Brigitte Bardot'' Place Francois Ier Paris, 1954Georges Dambier - ''Brigitte Bardot'' Place Francois Ier Paris, 1954

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Georges Dambier - ''Brigitte Bardot'' Place Francois Ier Paris, 1954

€2,300
Georges Dambier - ''Marie Hélène Arnaud '' Paris, 1957 pour Elle Magazine.

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Georges Dambier - ''Marie Hélène Arnaud '' Paris, 1957 pour Elle Magazine.

€2,300
Georges Dambier - “The mirror, Marie Hélène Arnaud” 1952

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Georges Dambier - “The mirror, Marie Hélène Arnaud” 1952

€2,300

Biography: Georges Dambier

Né à Paris en 1925, Georges Dambier est pendant la Guerre, l’élève du célèbre peintre et affichiste Paul Colin qui lui enseigne le graphisme et lui donne le goût de la décoration, de la mode, des jolies femmes et de la vie parisienne. Après la Libération, il devient l’assistant de Willy Rizzo, photographe de talent auprès duquel il découvre un nouvel art, dont il apprend bientôt à maîtriser les subtilités et plus particulièrement l’utilisation de la lumière. Dans le Paris de l’après-guerre, âgé de 20 ans, Georges Dambier photographie la vie nocturne et les réjouissances mondaines désormais en pleine explosion et se fait le témoin de la vie du « Tout-Paris », ses célébrités, ses lieux à la mode, ses fêtes brillantes. Des clichés de Rita Hayworth négociés contre une place permanente de reporter photographe à France Dimanche vont lancer sa carrière professionnelle. Bien que passionné par l’actualité, le jeune photographe préfère néanmoins capter le glamour, et saisir la vie dans tout son éclat, son raffinement. Son goût du graphisme et sa capacité à restituer la réalité avec une rare élégance le mènent à la photo de mode. En 1952, il est remarqué par Hélène Lazareff, fondatrice de Elle, qui lui donne sa chance et publie son premier reportage de mode. C’est avec son accord et son soutien qu’il lance le concept avant-gardiste de « touriste-photographe ». Il s’agit de partir avec une équipe complète (mannequins, rédactrice de mode, coiffeur, styliste…) pour photographier des modèles de Haute Couture dans des lieux de villégiature tels que l’Italie, le Maroc, la Corse, la Yougoslavie, le Brésil. Georges Dambier saisit des femmes vêtues de robes magnifiques dans un cadre original : au milieu du désert, dans un marché de village, sur un bateau et surtout dans l’agitation de ce Paris qu’il adore. Il est l’un des premiers en France à faire sortir les modèles des studios et il n’hésite pas à libérer les mannequins des poses figées et des attitudes stéréotypées, en défendant néanmoins une exécution exigeante.Au début des années 50, Georges Dambier ouvre son propre studio. Indépendant, il travaille toujours pour Elle mais aussi pour les principaux magazines de mode ( Vogue, Marie France, l’Express et enchaîne les grandes campagnes de publicité  Il réalise également des affiches de spectacles et des pochettes de disques et tout le show-business des années 60 passe ainsi devant son objectif. En 1964, Georges Dambier se lance dans un projet très personnel et crée TWENTY, mensuel destiné aux jeunes et dédié à la mode et à la culture mais cette aventure ambitieuse ne durera que deux ans. Son ami Maurice Siegel fait appel à lui en 1976 et ils créent ensemble VSD pour lequel Georges Dambier se voit confier la direction artistique et réalise le fameux logo. A la fin des années 80, Georges Dambier abandonne la presse et rejoint sa maison de famille dans la Périgord pour en faire un hôtel de charme et donner libre court à sa passion de la décoration ou il décédé en 2011.